Ce G20 a rendu le monde marteau !
Ce jour là, les banquiers de la city allèrent travailler sur ordre de leur direction en chemises à fleurs, tongs aux pieds pour ne pas être pris à parti par les opposants au G20. Et les manifestants, eux, défilérent en portant beau chapeaux-melon et costumes trois pièces pour singer les traders coupables.
Il fit beau sur Londres transformé en forteresse. Barack Obama offrit un Epod à la reine d’Angleterre, qui en avait déjà un, pour qui la prend t’on, et cette grande duduche de Michelle se laissa aller à tapoter le dos de la souveraine, scandalisant jusqu’au plus trash des tabloïds british.
Les grands de ce monde posérent comme une équipe de foot de deuxième division, avec la reine à la place du ballon, mais il fallût refaire la photo pour le Canadien, parti faire pipi juste à ce moment là et Berlusconi, pendu au téléphone.
Notons l'air de Sarkozy, coincé entre le président sud-coréen et le roi d'Arabie saoudite, délaissé par Angela, ignoré par Barack.
Il y a des jours comme ça, où un petit grain de sable semble s'introduire dans la machine bien rodée de notre petit monde.
Qu’on ne s’affole pas inutilement. M’est avis que d’ici peu, tout reprendra sa place.
Ce jour là, les banquiers de la city allèrent travailler sur ordre de leur direction en chemises à fleurs, tongs aux pieds pour ne pas être pris à parti par les opposants au G20. Et les manifestants, eux, défilérent en portant beau chapeaux-melon et costumes trois pièces pour singer les traders coupables.
Il fit beau sur Londres transformé en forteresse. Barack Obama offrit un Epod à la reine d’Angleterre, qui en avait déjà un, pour qui la prend t’on, et cette grande duduche de Michelle se laissa aller à tapoter le dos de la souveraine, scandalisant jusqu’au plus trash des tabloïds british.
Les grands de ce monde posérent comme une équipe de foot de deuxième division, avec la reine à la place du ballon, mais il fallût refaire la photo pour le Canadien, parti faire pipi juste à ce moment là et Berlusconi, pendu au téléphone.
Notons l'air de Sarkozy, coincé entre le président sud-coréen et le roi d'Arabie saoudite, délaissé par Angela, ignoré par Barack.
Il y a des jours comme ça, où un petit grain de sable semble s'introduire dans la machine bien rodée de notre petit monde.
Qu’on ne s’affole pas inutilement. M’est avis que d’ici peu, tout reprendra sa place.
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