Ou plutôt le doigt dressé vers le Premier ministre, dans un geste qu'il pensait discret mais néanmoins élégant. A deux doigts de la mauvaise foi, l'élu PS nie avoir commis ce geste, rapporte le journal Le Parisien.
"C'est pas moi, c'est pas mon doigt, j'aime pas la confiture", constituant la base, solide, de sa défense.
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