mercredi 12 novembre 2008

La langue de Molière est bien difficile


Je connais un type qui se pique d’expressions françaises. Il s’appelle Antonio. Mais quand Antonio boit un coup de trop, ce qui arrive assez souvent, il se mélange les pinceaux avec les nombreuses subtilités de la langue de Molière.
Un soir qu’il enfilait avec peine son blouson rendu trop étriqué par le vin, Antonio grommela en passant la première manche « déjà d’une première part… ».
Et en passant la seconde manche : « et puis… d’une deuxième part ! »
L’expression m’est restée. Je la trouve très jolie.

1 commentaire:

  1. Poétique

    Interview de Dee Dee Bridgewater qui chantait alors accompagnée par un orchestre symphonique.
    Moi - Quelles sensations?
    Elle - Je suis totalement "enveloutée" par la musique

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