"Les seules dépenses liées avec certitude à des achats présumés de montres et d'accessoires d'horlogeries sur le territoire français s'elevent à plus de 130 000 euros.(...) Entre 2006 et 2008, la Centurion de Dray a fait crépiter les machines à carte bancaire du luxe parisien, entre une à six fois par mois. Des achats de 500 à 18 000 euros, dans la catégorie "luxe stylo", "luxe maroquinerie", "chausseur", "galerie d'art", prêt à porter "et bien sûr "horlogerie" - péché mignon du député. Au total, ces flux auront atteint 313 180,56 euros."
Libération du 15 janvier, Karl Lase.
Libération du 15 janvier, Karl Lase.
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