Mon frère a eu une adolescence houleuse, oscillant entre Biactol et Récré A 2, entre Ovomaltine et AC/DC. Lorsque de sa chambre hurlait du hard rock, on savait qu’il cherchait à faire craquer les autres occupants de l'appartement.
En Irak, à Guantanamo et en Afghanistan c’est pareil.
L’armée américaine diffuse du hard rock à pleins volumes, des heures entières, dans les cellules et dans les couloirs, pour faire craquer psychologiquement les prisonniers, révèle un article publié sur le Net en décembre.
"La musique était quasi-permanente. Je ne peux pas vous dire combien de fois j'ai entendu We Will Rock You de Queen", raconte un ancien prisonnier en Irak.
Une campagne de protestation se déroule depuis le mois dernier, réunissant des groupes comme Massive Attack, choqués que leurs œuvres soient transformés en torture par l’armée.
Leur arme ? Des minutes de silence durant leur concert.
En Irak, à Guantanamo et en Afghanistan c’est pareil.
L’armée américaine diffuse du hard rock à pleins volumes, des heures entières, dans les cellules et dans les couloirs, pour faire craquer psychologiquement les prisonniers, révèle un article publié sur le Net en décembre.
"La musique était quasi-permanente. Je ne peux pas vous dire combien de fois j'ai entendu We Will Rock You de Queen", raconte un ancien prisonnier en Irak.
Une campagne de protestation se déroule depuis le mois dernier, réunissant des groupes comme Massive Attack, choqués que leurs œuvres soient transformés en torture par l’armée.
Leur arme ? Des minutes de silence durant leur concert.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire