Depuis les élections, chez les Socialistes, on joue la "Tirade des nez" de Cyrano (descriptif : c'est un roc! c'est un cap !" ) et on commente l'état du parti sur différents tons.
Façon Sage chinois : “Quand la roue du chariot est brisée, beaucoup vous diront par où il fallait passer » (Jean-Marc Ayrault).
A la Marquis de Sade : « On est dos au mur, on a reçu un coup de pied aux fesses terrible » (Pierre Moscovici) ou « On a fermé la boîte à gifles et on a ouvert la boîte à idées." (Jean-Christophe Cambadélis).
"On the road again" : "Le parti est tombé dans le formol depuis sept ans. Dernière station-service avant le desert"(Arnaud Montebourg).
Grèce Antique pour Gérard Collomb : "Il faut qu’elle change très vite le PS. Il ne faut plus que ce soient les écuries d’Augias."
Victor Hugo « On meurt tous ensemble ou on gagne tous ensemble» pour Marylise Lebranchu.
Et série Urgences : "C’est minuit moins le quart, là, avant la mort clinique du Parti socialiste". Manuel Valls.
Parce que vous vous imaginiez qu'ils allaient plutôt se rassembler pour chercher, ensemble, à rénover le parti ? Tss.
"Que dites-vous ? C'est inutile ? Je le sais ! Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non ! Non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !"continuait Cyrano.
(Citations reprises sur Libération.fr)
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