Le gagnant du jeu "le meilleur job du monde "a été piqué par une méduse mortelle alors qu'il faisait du jet ski durant les heures de bureau.
"Ce poison peut provoquer une montée rapide de la pression sanguine et des crises cardiaques, des vomissements ou des angoisses" expliquent les spécialistes.
Le gardien de l'ile paradisiaque va mieux mais se dit secoué.
C'est toujours comme ça. Au début, on est content de son nouveau poste, de ses nouveaux collègues, de ses nouvelles responsablités et puis, avec le temps, apparaissent les défauts du job...
mercredi 30 décembre 2009
dimanche 27 décembre 2009
Mauvais esprit
samedi 26 décembre 2009
Bonne nouvelle de Noël
vendredi 25 décembre 2009
Messe de minuit Rock'n'roll à Saint-Pierre de Rome
Le pape Benoit XVI a décidé d'avancer à 22 heures la messe de minuit de Noël, rapport à la fatigue. Stupeurs et tremblements autour de la crèche et de la buche... Jamais aucun pape n'avait osé toucher à la messe de minuit, pas même Jean-Paul II, pourtant bien fatigué sur la fin de son CDI.
Mal lui en a pris. Une folle lui a sauté à la gorge alors qu'il remontait la nef, cassant au passage un fémur à un autre cardinal.
Ces changements d'heures, ça pertube, tous les spécialistes le disent.
Mal lui en a pris. Une folle lui a sauté à la gorge alors qu'il remontait la nef, cassant au passage un fémur à un autre cardinal.
Ces changements d'heures, ça pertube, tous les spécialistes le disent.
jeudi 24 décembre 2009
Mariage à l'italienne
mardi 22 décembre 2009
Cadeaux de Noël 2
Un cabinet d'avocats londonien lance pour les fêtes les "coupons divorce". Faciles à utiliser, genre "chéques cadeaux du CE" mais en plus sulfureux, ces coupons d'une heure donnent droit à une consultation avec un avocat, en vue d'un divorce.
Ils se vendent bien, notamment à des maitresses perdant patience, racontent les avocats.
source : Libération, 21 décembre 2009
Ils se vendent bien, notamment à des maitresses perdant patience, racontent les avocats.
source : Libération, 21 décembre 2009
lundi 21 décembre 2009
Cadeaux de Noël
samedi 19 décembre 2009
Joyeux Noël, la planète !
vendredi 18 décembre 2009
Crise économique et fêtes de fin d’année : le père Noël a le blues
Crise oblige, les achats de Noël prennent une allure de test pour les grands magasins qui réalisent d’habitude un quart de leur chiffre d’affaire entre la mi-novembre et le 25 décembre. Et cette année ? La crise qui dure a t’elle changé les habitudes des Français ? Reportage au BHV, à Paris, une semaine avant le grand jour.
« Grelin-grelin » tintinnabule la cloche de l’Armée du Salut. 8 jours avant Noël : devant les vitrines décorées du BHV, un bénévole en uniforme bleu marine fait appel à la solidarité des passants.
Tout se joue au 5e étage du magasin, au rayon des jouets. En musique d’ambiance, Sinatra souhaite « Merry Chrismas », interrompu par la voix joyeuse et professionnelle d’un démonstrateur : « lorsqu’on n’ a pas d’idées cadeaux, on en a encore, grâce au BHV ».
Les rayons sont étrangement calmes. Quelques rares clients se promènent, tranquillement. Un hélicoptère miniature volette de rayons en rayons devant un client hésitant. Il finit par s’éloigner sans le jouet.
Au rayon Petite fille, Axelle se veut confiante. Elle travaille là depuis deux ans et prépare les fêtes depuis le 15 octobre. « Ce soir c’est nocturne. Les gens viendront peut-être plus tard. A partir de 16 h, il devrait y avoir plus de monde. »
Non loin de là, une maman hésite entre deux valisettes Hello Kitty. Elle reviendra. « Ce qui a changé cette année, et un peu aussi déjà l’an dernier, c’est que les clients font du repérage, analyse Axelle. Il n’y a plus d’achat compulsif, tout est calculé. Les seuls moments où ils se lâchent c’est durant les ventes flash, quand le BHV propose - 20%, par exemple, pendant une heure ».
A côté des peluches, un père Noël déprime, assis sur son trône. Il discute avec son photographe pour passer le temps. "En temps normal, on photographie une soixantaine d’enfants en une journée. Regardez ça : il n’y a personne… »
La valse des hésitants se poursuit. Une dame cherche une petite voiture pour «12 euros». Il n’y a rien de ce genre-là à moins de 15 euros. Elle repart sans acheter. D’autres ont trouvé leur bonheur. Une grand-mère, coiffée comme Brigitte Bardot dans les années 80, traîne d’une main « le train des records » dans un gros carton et, de l’autre, son petit-fils, ravi. Aux caisses, quatre-cinq personnes seulement font la queue. Les caissières ont le temps de répondre au téléphone « les jouets bonjour ? ».
Ce Noël de grand magasin ne ressemble pas aux Noëls d’il y a 10 ans.
Au rayon Premier âge, ce n’est pas la fête. d’humeur morose. Pour expliquer la morosité ambiante, Yamina, démonstratrice pour la marque Prénatal, a un coupable tout trouvé. Elle baisse la voix pour le dénoncer. « C’est à cause d’Internet! Les clients achètent tout en ligne parce que c’est moins cher."
Il est 16 heures. Les rayons se sont un peu remplis. Aux caisses centrales, une dizaine de clients patientent maintenant. Une petite fille boulotte expose son point de vue, son cadeau dans les bras : « c’est pas le père Noël qui apporte les cadeaux, c’est les mamans ». Encore une qui n’ira pas se faire photographier avec le vieux bonhomme en rouge du BHV.
Tout près de là, des Mac scintillants et des écrans plats dernier cri défient les ours en peluche. Le rayon informatique grignote inexorablement l’espace jouets.
« Depuis 4 ans, le matériel informatique représente près de 33 % des achats de Noël, confirme un vendeur. C’est plus que les jouets et les vêtements réunis. »
Près des escalators, au stand des paquets cadeaux, une dizaine de volontaires se tiennent prêts à empaqueter. Plus nombreux que les clients qui attendent.
Dehors, le froid est vif et le soir commence à tomber sur Paris. La cloche de l’Armée du Salut résonne toujours près des vitrines. Le soldat salutiste s’inquiète « Cette année, c’est pas gagné.»
« Grelin-grelin » tintinnabule la cloche de l’Armée du Salut. 8 jours avant Noël : devant les vitrines décorées du BHV, un bénévole en uniforme bleu marine fait appel à la solidarité des passants.
Tout se joue au 5e étage du magasin, au rayon des jouets. En musique d’ambiance, Sinatra souhaite « Merry Chrismas », interrompu par la voix joyeuse et professionnelle d’un démonstrateur : « lorsqu’on n’ a pas d’idées cadeaux, on en a encore, grâce au BHV ».
Les rayons sont étrangement calmes. Quelques rares clients se promènent, tranquillement. Un hélicoptère miniature volette de rayons en rayons devant un client hésitant. Il finit par s’éloigner sans le jouet.
Au rayon Petite fille, Axelle se veut confiante. Elle travaille là depuis deux ans et prépare les fêtes depuis le 15 octobre. « Ce soir c’est nocturne. Les gens viendront peut-être plus tard. A partir de 16 h, il devrait y avoir plus de monde. »
Non loin de là, une maman hésite entre deux valisettes Hello Kitty. Elle reviendra. « Ce qui a changé cette année, et un peu aussi déjà l’an dernier, c’est que les clients font du repérage, analyse Axelle. Il n’y a plus d’achat compulsif, tout est calculé. Les seuls moments où ils se lâchent c’est durant les ventes flash, quand le BHV propose - 20%, par exemple, pendant une heure ».
A côté des peluches, un père Noël déprime, assis sur son trône. Il discute avec son photographe pour passer le temps. "En temps normal, on photographie une soixantaine d’enfants en une journée. Regardez ça : il n’y a personne… »
La valse des hésitants se poursuit. Une dame cherche une petite voiture pour «12 euros». Il n’y a rien de ce genre-là à moins de 15 euros. Elle repart sans acheter. D’autres ont trouvé leur bonheur. Une grand-mère, coiffée comme Brigitte Bardot dans les années 80, traîne d’une main « le train des records » dans un gros carton et, de l’autre, son petit-fils, ravi. Aux caisses, quatre-cinq personnes seulement font la queue. Les caissières ont le temps de répondre au téléphone « les jouets bonjour ? ».
Ce Noël de grand magasin ne ressemble pas aux Noëls d’il y a 10 ans.
Au rayon Premier âge, ce n’est pas la fête. d’humeur morose. Pour expliquer la morosité ambiante, Yamina, démonstratrice pour la marque Prénatal, a un coupable tout trouvé. Elle baisse la voix pour le dénoncer. « C’est à cause d’Internet! Les clients achètent tout en ligne parce que c’est moins cher."
Il est 16 heures. Les rayons se sont un peu remplis. Aux caisses centrales, une dizaine de clients patientent maintenant. Une petite fille boulotte expose son point de vue, son cadeau dans les bras : « c’est pas le père Noël qui apporte les cadeaux, c’est les mamans ». Encore une qui n’ira pas se faire photographier avec le vieux bonhomme en rouge du BHV.
Tout près de là, des Mac scintillants et des écrans plats dernier cri défient les ours en peluche. Le rayon informatique grignote inexorablement l’espace jouets.
« Depuis 4 ans, le matériel informatique représente près de 33 % des achats de Noël, confirme un vendeur. C’est plus que les jouets et les vêtements réunis. »
Près des escalators, au stand des paquets cadeaux, une dizaine de volontaires se tiennent prêts à empaqueter. Plus nombreux que les clients qui attendent.
Dehors, le froid est vif et le soir commence à tomber sur Paris. La cloche de l’Armée du Salut résonne toujours près des vitrines. Le soldat salutiste s’inquiète « Cette année, c’est pas gagné.»
Susan et Internet
120 millions : c'est le nombre de visionnages sur You Tube de la prestation de Susan Boyle lors de l'émission britannique de "Incroyable talent".
L'improbable Ecossaise clamant son affreuse chanson a donc été la vidéo la plus regardée en 2009.
Bon. Vaut mieux ça que des scènes de violences, non ?
L'improbable Ecossaise clamant son affreuse chanson a donc été la vidéo la plus regardée en 2009.
Bon. Vaut mieux ça que des scènes de violences, non ?
mercredi 16 décembre 2009
Doigt d'honneur
mardi 15 décembre 2009
Nadine Morano no comment
"Moi, ce que je veux du jeune musulman, quand il est français, c'est qu'il aime son pays, c'est qu'il trouve un travail, c'est qu'il ne parle pas le verlan, qu'il ne mette pas sa casquette à l'envers."
Nadine Morano, secrétaire d'État chargée de la Famille et de la Solidarité, le 14 décembre lors d'un débat sur l'identité nationale à Charmes dans les Vosges.
Nadine Morano, secrétaire d'État chargée de la Famille et de la Solidarité, le 14 décembre lors d'un débat sur l'identité nationale à Charmes dans les Vosges.
lundi 14 décembre 2009
Carla Bruni dit tout sur TF1
dimanche 13 décembre 2009
Des chiffres et des lettres
vendredi 11 décembre 2009
jeudi 10 décembre 2009
Jusqu'au bout des doigts
Lin Rong, chinoise de 27 printemps, est parvenue à revenir illégalement au Japon après en avoir été expulsée une première fois.
Son truc ? Elle a eu recours à une opération chirurgicale pour intervertir les empreintes digitales de ses index et de ses pouces. La police a remarqué de curieuses cicatrices autour de ses doigts et a découvert le stratagème.
Tss, ces sans-papiers, vraiment prêts à tout pour travailler.
Son truc ? Elle a eu recours à une opération chirurgicale pour intervertir les empreintes digitales de ses index et de ses pouces. La police a remarqué de curieuses cicatrices autour de ses doigts et a découvert le stratagème.
Tss, ces sans-papiers, vraiment prêts à tout pour travailler.
mercredi 9 décembre 2009
Ségolène Royale vue par François Bayrou
mardi 8 décembre 2009
La vengeance est un plat qui se mange froid
"Il y a eu un certain nombre de dysfonctionnements à Paris. Nous nous sommes rendu compte que les plages horaires de vaccination n'avaient pas été assurées, en particulier après 17 heures et le dimanche."
Roselyne Bachelot, très "Princesse Daisy découvre la grippe", hier sur France Inter.
On apprend également que le directeur de la Ddass (direction départementale des affaires sanitaires et sociales) est muté, conséquences de sa brillante gestion des centres de vaccinations franciliens.
Je ne sais pas vous, mais moi ça me fait plaisir. C'est comme si mon blog avait servi à quelque chose.
Roselyne Bachelot, très "Princesse Daisy découvre la grippe", hier sur France Inter.
On apprend également que le directeur de la Ddass (direction départementale des affaires sanitaires et sociales) est muté, conséquences de sa brillante gestion des centres de vaccinations franciliens.
Je ne sais pas vous, mais moi ça me fait plaisir. C'est comme si mon blog avait servi à quelque chose.
lundi 7 décembre 2009
Un trafic de chiens démantelé
Le bichon maltais offert à Chirac pour ses 77 ans par Michel Drucker sur le plateau de Vivement dimanche est un faux. C'est un chien témoin !
Le vrai, l'élu appelé à gambader entre les jambes de Jacques et Bernie et à ronger les fauteuils de leur superbe appartement quai Voltaire, vient seulement de naître et est encore à l'élevage.
Ce trafic de chien entre vieux a quelque chose de flippant, non ?
Le vrai, l'élu appelé à gambader entre les jambes de Jacques et Bernie et à ronger les fauteuils de leur superbe appartement quai Voltaire, vient seulement de naître et est encore à l'élevage.
Ce trafic de chien entre vieux a quelque chose de flippant, non ?
vendredi 4 décembre 2009
Une formidable aventure humaine
Suite et pas fin de mes aventures contre la grippe A. Dans le cadre "soyons une mère parfaite" j’ai emmené mes fils se faire vacciner, le centre près de chez moi ayant daigné ouvrir, de14 h à 18 h, sauf samedi-dimanche.
Me voilà donc partie de bonne heure mercredi, maligne comme un singe, pour être devant les portes bien à l’avance. Las.
26 poussettes tractées par des parents, malins comme des singes aussi, étaient déjà là. La file remontait la rue Frederik Lemaître, riante artère du 20e.
Mercredi 1er décembre, pour situer l'action, il tombe sur Paris une pluie glaciale.
Je suis avec Céline, une copine, et on souffle de concert sur les doigts de nos enfants pour les réchauffer. Les parents piétinent et font les marionnettes pour occuper leur progéniture.
Derrière nous, un jeune type fait la queue, seul sous la pluie. C’est le plus malin de tous les singes réunis : il communique par portable avec sa femelle, restée chez elle et qui, au dernier moment, hop, le rejoint, leur bébé dans les bras. Une heure passe.
On fini par entrer. Dedans, c’est ambiance "Ouragan Katrina, 3 jours après". Des enfants pleurent, les poussettes trempées bloquent le passage, on marche sur les sacs. Deux dames, gardiennes du temple à l’accent des îles, impassibles, vérifient nos identités. Elles consentent à faire vacciner mon ainé (3 ans et demi) qui n’a pas encore reçu sa convocation, le petit polisson. (Je dois faire la queue à un 3e bureau pour obtenir le passe-droit). On me fait remplir, debout, un enfant et un parapluie qui goutte sous le bras, deux questionnaires sibyllins où je coche "non" partout. Puis on passe devant un médecin. Je demande à être vaccinée aussi, si-c'est-possible-docteur.
- Vous êtes en contact avec des enfants ?
- Heu, à part les miens ? Non.
- Alors non.
- Je vous demande ça parce qu’un ami a été vacciné en même temps que ses enfants, donc je sais que dans certains centres, c’est possible.
Elle, mutique et mystérieuse : vous n’êtes pas dans le secret médical.
Ma copine Céline passe au bureau voisin. L’autre médecin lui demande aimablement : vous voulez vous faire vacciner ?
Comme on s’en étonne dans le couloir, mon médecin mystère s’emporte : "n’allez pas colporter des rumeurs ! Vous n’êtes pas médecin !
- Mais je voudrais juste comprendre pourquoi votre collègue le propose et pourquoi vous le refusez ?"
Nous n’obtiendrons pas de réponse. L’organisation de cette campagne de vaccination est décidemment pleine de mystères.
Deux infirmières, seulement, sont là pour piquer tout le monde. Elles ont les traits tirés mais sourient aux parents. Les enfants ont un bonbon après le vaccin.
Dehors le jour tombe déjà, la pluie n’a pas cessé. La file des poussettes s’étire toujours, longue comme un jour sans pain. Dans 3 semaines, on y retourne pour le rappel.
Comme on disait à la Star Ac', je continue l'aventure.
Me voilà donc partie de bonne heure mercredi, maligne comme un singe, pour être devant les portes bien à l’avance. Las.
26 poussettes tractées par des parents, malins comme des singes aussi, étaient déjà là. La file remontait la rue Frederik Lemaître, riante artère du 20e.
Mercredi 1er décembre, pour situer l'action, il tombe sur Paris une pluie glaciale.
Je suis avec Céline, une copine, et on souffle de concert sur les doigts de nos enfants pour les réchauffer. Les parents piétinent et font les marionnettes pour occuper leur progéniture.
Derrière nous, un jeune type fait la queue, seul sous la pluie. C’est le plus malin de tous les singes réunis : il communique par portable avec sa femelle, restée chez elle et qui, au dernier moment, hop, le rejoint, leur bébé dans les bras. Une heure passe.
On fini par entrer. Dedans, c’est ambiance "Ouragan Katrina, 3 jours après". Des enfants pleurent, les poussettes trempées bloquent le passage, on marche sur les sacs. Deux dames, gardiennes du temple à l’accent des îles, impassibles, vérifient nos identités. Elles consentent à faire vacciner mon ainé (3 ans et demi) qui n’a pas encore reçu sa convocation, le petit polisson. (Je dois faire la queue à un 3e bureau pour obtenir le passe-droit). On me fait remplir, debout, un enfant et un parapluie qui goutte sous le bras, deux questionnaires sibyllins où je coche "non" partout. Puis on passe devant un médecin. Je demande à être vaccinée aussi, si-c'est-possible-docteur.
- Vous êtes en contact avec des enfants ?
- Heu, à part les miens ? Non.
- Alors non.
- Je vous demande ça parce qu’un ami a été vacciné en même temps que ses enfants, donc je sais que dans certains centres, c’est possible.
Elle, mutique et mystérieuse : vous n’êtes pas dans le secret médical.
Ma copine Céline passe au bureau voisin. L’autre médecin lui demande aimablement : vous voulez vous faire vacciner ?
Comme on s’en étonne dans le couloir, mon médecin mystère s’emporte : "n’allez pas colporter des rumeurs ! Vous n’êtes pas médecin !
- Mais je voudrais juste comprendre pourquoi votre collègue le propose et pourquoi vous le refusez ?"
Nous n’obtiendrons pas de réponse. L’organisation de cette campagne de vaccination est décidemment pleine de mystères.
Deux infirmières, seulement, sont là pour piquer tout le monde. Elles ont les traits tirés mais sourient aux parents. Les enfants ont un bonbon après le vaccin.
Dehors le jour tombe déjà, la pluie n’a pas cessé. La file des poussettes s’étire toujours, longue comme un jour sans pain. Dans 3 semaines, on y retourne pour le rappel.
Comme on disait à la Star Ac', je continue l'aventure.
jeudi 3 décembre 2009
mercredi 2 décembre 2009
Le père Noël est une ordure
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