jeudi 30 octobre 2008

Vroum vroum

L’image de James Dean, mort en 1955 dans un accident de la route, sert, notamment, à vendre... des voitures.

Le mort le plus riche….


Le magazine américain Forbes vient de publier le classement des célébrités décédées qui ont gagné le plus d’argent cette année.
Dans cet ordre : Elvis Presley, l’acteur Heath Ledger, le papa de Snoopy et Albert Einstein.
Elvis a ainsi gagné plus que Madonna en 2007 !
Ben, ça leur fait un bel os.

mercredi 29 octobre 2008

Jusqu'ici ça va


Une amie, prise d’une saine colère comme disait l’autre, s’énervait après tous ces banquiers, financiers et autre rois du monde qui, disait elle écœurée, forcement savaient qu’ils allaient dans le mur mais n’avaient rien fait pour éviter cette crise financière, profitant du système tant qu’ils le pouvaient.
Cette amie prend sa voiture tous les matins pour aller travailler.
Je me dis que face aux sujets touchant à l’environnement, nous sommes tous des banquiers inconscients : on sait qu’on va dans le mur, on sait que la terre qu’on laissera à nos enfants se porte mal, on sait que ça ne pourra pas durer encore longtemps comme ça… mais on ne change pas nos habitudes. Ou si doucement.
Nous continuons de prendre notre voiture, de consommer, de polluer…
Comme dans l’histoire du type qui tombe d’un building et qui, à chaque étage, se dit : "jusqu’ici ça va, jusqu’ici ça va..."

Mon mari, ce héros

Michelle Obama se plaint que le peut être, mon-dieu-on-y-est-presque, prochain Président des Etats-Unis, ne ramasse jamais ses chaussettes sales et sent mauvais de la bouche le matin. A voir comme ça … on ne dirait pas !
La femme de Paul Newman, quand on lui parlait de son mari, ses yeux, son charme, rétorquait : « oui, bon, n’exagérons rien, ce n’est quand même pas Robert Redford ! »

Difficile d’être un héros pour son valet…. et pour sa femme, donc !

dimanche 26 octobre 2008

Un Président, des Présidents


Une amie travaillait dans un théâtre en 1981.
Quelques semaines après la victoire de Mitterrand, la direction du théâtre apprend que le Président viendra le soir même. Branle bas de combat, tout le monde est sur le pont.
Mais le soir même, 20H30, personne.
20H40, toujours personne.
La salle commence à s'agiter, la troupe ne sait plus quoi faire.
20H45, le directeur du théâtre se rend compte d'une certaine agitation devant l'entrée des artistes. Dans l'encadrure de la porte, Mitterrand, flanqué de deux de ses sbires essaie de passer mais Mustapha, l'homme à tout faire du théâtre, bloque farouchement l'entrée.
En secouant la tête, il pointe un doigt accusateur sur l'horloge.
Le directeur, manquant défaillir, pousse Mustapha et se précipite sur le Président. On l'installe, la représentation démarre.
Le directeur, mal remis de son émotion, recroise Mustapha.
-"Mais enfin, qu'est-ce qui vous a pris ? Vous n'avez pas reconnu le Président ?
Et Mustapha :
-Quoi ? Pompidou ?! Ah mais je ne l'aurais jamais reconnu !"

Où et comment les tongs deviennent tendance


Hawaï, oct 2008

samedi 25 octobre 2008

Barbie fait du shopping


Et voilà le post qui contredit le précédent....
Le Parti républicain a dépensé 150 000 dollars, en moins de trois mois, pour habiller, maquiller et coiffer Sarah Palin, colistière de John McCain dans la course à la Maison Blanche.
Réponse de l'interressée, toute mimi sous sa peau d'ours dans son bureau de l'Alaska : " Avec toutes les questions importantes auxquelles le pays est confronté, il est incroyable que nous passions du temps à parler de pantalons et blouses."
Non, Sarah.
Ce qui est vraiment incroyable, c'est de dépenser 150 000 dollars pour ressembler à une hôtesse de l'air de chez KLM, bas de contention inclus.
Lui confier la vice présidence, voir le budget des Etats-Unis qui sait, me semble, comment dire... un peu hasardeux.
Enfin, moi je dis ça, je dis rien.

Enquête d'un sou pour faire deux sous

Voilà le genre de nouvelle qui me réjouit, et, vous en conviendrez, par les temps qui courrent...
Une enquête de l'Observatoire de la féminisation des entreprises du Ceram Business School montre que "plus l'encadrement d'une entreprise est féminun moins son cours en Bourse a chuté cette année" (Libé du 23 octobre 2008).
Ainsi LVMH (+ de 50% de femmes à l'encadrement) a moins chuté qu'Arcelor-Mittal (où la testosterone coule à flot comme chacun sait).
Alors qui c'est les dépensières ne sachant pas gérer un budget ?
Ah mais.

mardi 21 octobre 2008

Pour Dom




Talons aiguilles à Modène


Ca ne s'invente pas. Dans le ELLE de cette semaine, on trouve l'info suivante :
La ville de Modène, en Italie, suivant avec ardeur la politique de Berlusconi dans sa chasse aux fonctionnaires/fainéants, a décidé d'interdire à tous ses agents d'Etat de porter des talons aiguilles.
Le rapport ? Ca évitera aux fonctionnaires de la ville de se tordre la cheville... et d'être en arrêt maladie.
En suivant ce raisonnement, on devrait bientot voir tous les fonctionnaires de la péninsule en tong (pas de talonnettes, ça glisse, pas de chaussures à lacet, risque de chute, etc.) ...
Mais alors, amis italiens, ne vous arrêtez pas là : halte aux tenues de ville ! Optez pour de sobres combinaisons (genre Planète des singes) et évitez ainsi de prendre froid l'hiver, chaud l'été, de vous accrocher à des angles pointus...
L'élégance italienne risque d'en prendre un coup. Vivement les collections automne-hiver prochaines !

lundi 20 octobre 2008

Les maris de Juno

C'est tout de même incroyable que tous ces bonshommes, les Laporte, les Eric Besson, les Aznar, les Arthur, se croient, avec un bel ensemble, obligés d'infirmer d'éventuelles relations amoureuses avec une femme, qui ne leur demande rien, depuis que sa grossesse est officielle !
Sous entendu : le père, c'est pas moi mais ca aurait plus l'être, rapport à mon charme ravageur... et la cuisse légère de la dame.
Car voilà ce qu'on fini par en conclure, à coup de déclarations dans la presse.
Parce que Rachida Dati ne veut rien dire sur l'identité du papa de son bébé, voilà tous les mâles des environs surjouant les Don Juan....
Je rêve d'un monde où l'on verrait des jeunes femmes nier des maternités face caméra : "le petit de machin? Meuh non il n'est pas de moi ! Dire que j'ai même des copines qui m'appellent de New York pour me poser la question !" (gloussements)
Hé oui , ca ferait tout drole, hein?

samedi 18 octobre 2008

La lutte finale

En partant au travail l'autre matin, j'ai croisé deux balayeurs dans la rue.
Tout de verts vêtus, balais à la main dardés vers le ciel bleu des journées d'automne indien, ils discutaient dans l'air piquant du petit matin.
-"Non le problème tu vois, c'est que le chef ne fait pas remonter les infos. "
L'autre acquiescait, convaincu.
Et j'ai sursauté.
Dans ma boite branchouille du secteur de la com', c'est exactement le genre de propos qui flotte dans l'air à l'heure de la pause clope des cadres sur-stressés.
C'est ce qui remonte de nos com'op' (comité opérationnel, ou réunion) ou, ASAP (as soon as possible) on se fait des feed-back (retours) sur la prod en cours (sur le boulot) éventuellement lors de conf' call' (conférence téléphonique) pour peu que l'un d'entre nous ne soit pas dispo' pour braimstormer (disponible pour refléchir).
Le problème, souvent, c'est qu'il ou elle ne fait pas remonter les infos.
Ne nous manque que les balais. La vache.
Si ce n'est pas de l'égalité des classes, ça, moi, je ne vois pas ce qu'il vous faut...

jeudi 16 octobre 2008

Oh my god !


cette photo n'est pas un montage....

Hôpital public... suite


Dans la série, Hôpital public n° 1, une amie m'a raconté son expérience des Urgences. Marion s’est fendu le crane en tombant dans des escaliers et attendait sagement qu’on la recouse pour retourner travailler (elle était pigiste et payée au feuillet mais ce n’est pas le sujet).
Assise dans la salle d’attente avec d’autres frères humains comme écrivait joliment Albert Cohen, elle se demandait comment passer le temps quand son voisin lui propose un café. La conversation démarre, ma copine contente de s’être fait un copain.
-"Je suis ici parce que j’ai tenté de me suicider… En avalant une petite cuillère". De ses yeux écarquillés, il scrute nerveusement les environs à la recherche d’un plateau repas. "Je suis bien bien déprimé, là, quand même".
Et, sur le ton de la confidence : « ils n’étaient pas contents ». Le "ils"désignant peut-être les médecins, mais aussi l'hôpital, l’Etat en général, qui sait ?
-"Ne le refaites pas", miaule Marion d’une petite voix, comprenant qu’elle est assise à côté d’un fou, et ce pour de longues heures encore.
La folie est relative. Un peu plus tard, elle croise une dame au visage fendu d’un large sourire : " mon mari a fait une crise cardiaque ! Je vais acheter des cigarettes ! Je vous offre un paquet pour fêter ça ? Si, ça me fait plaisir... "
On suppose qu’elle voulait dire :" mon mari a fait une crise cardiaque… et s’en est sorti".
La comédie humaine se joue 24h sur 24 aux urgences de l’hôpital public. Assister à une représentation est toujours instructif.
Ayons une pensée fraternelle pour les acteurs de permanence, personnel hospitalier, médecins, etc. qui, tous les jours et toutes les nuits, dansent, pour des salaires de misère, la ronde de la vie.

mercredi 15 octobre 2008

Heureux qui comme Ulysse...


Vous vous êtes fait virer de chez Krung Thep (complet, pas réservé, pas envie de servir passé 22h... ) ? Je vous avais prévenu pourtant ! 
Bande de petits veinards. Vous allez passer de la Thaïlande aux Balkans, juste en traversant la rue de Belleville et vous allez adorer.
L'Iliade, c'est tapis persans du sol au plafond, bel canto ou bouzouki à la lumière des bougies, fleurs blanches sur les tables. La cuisine est grecque et turque à la fois, le service aimable.
Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage. Vraiment.

L'Iliade
59, rue de Belleville
75019 Paris
Tél. 01 42 01 19 22
Métro ligne 11 : Pyrénées

Juno 2

"Rachida Dati est une amie. L'enquête préliminaire en cours demandée par la Garde des Sceaux devrait m'innocenter très vite."

Eric Besson, tout en finesse, dans VSD fin septembre, à propos de la grossesse de la Garde des Sceaux.

mardi 14 octobre 2008

Hôpital public


Un ami a eu un accident de vélo : il a percuté un bus, s'est relevé aussi sec et est reparti en zigzaguant, tout étourdi.
Quelques tours de roue plus tard, la tête lui tourne, il décide d'aller aux urgences.

La salle d'attente est bondée, c'est la Cour des miracles. On lui annonce 6 heures d'attente, au bas mot. Les médecins sont débordés, les infirmières courent partout en évitant de regarder les patients, par peur d'être interpellées.

Le temps passe. Sur sa chaise, mon ami se sent de plus en plus mal. Comprenant qu'il défaille, il agrippe le bras de son voisin d'infortune : "j'ai eu un accident de vélo... Dites-leur que je me suis cogné la tête !"

Mais ce dernier repousse violemment sa main et lui hurle : "j'en ai rien à foutre !"

C'est la dernière chose dont se souvient mon ami avant de s'évanouir sur le carrelage.

Moi je dis que la suppression annoncée de nombreux postes dans la Fonction publique ne va pas améliorer l'état de l'hôpital français.

Ni le degré de hargne des usagers, rendus fous par l'attente.

Enfin moi je dis ça, je dis rien.

Les prénoms en "a "sont à la mode

Quand Le Monde confond Carla et Cécilia…
Bon, ce n'est pas le scoop de la semaine, mais moi ça me fait rire...
Quand Le Monde s'emmêle les pinceaux entre toutes les femmes du Président et parle de la visite de Cécilia Bruni Sarkozy à Marina Petrella.
Faut dire qu'avec tous ses "a", une coquille peut vite arriver... 
A croire qu'il le fait exprès, Nicolas !

Le Monde du 14/10/2008

lundi 13 octobre 2008

Autant en empo'te le vent

En campagne en Virginie, McCain promet de fouetter le "vous-savez-quoi" d'Obama, lors de leur prochain débat télévisé, mercredi prochain, déclenchant des rires gras autour de lui et la consternation partout ailleurs.
C'est Missié McCain de retour à Ta'a !

Bien, très bien, John, continue comme ça ...

Communication de crise

"Le gros risque est derrière nous "estimait Christine Lagarde, le 20 septembre 2008, lors d'une conférence de presse à Saatchi en Russie, au sujet de la crise financière mondiale.

vendredi 10 octobre 2008

Scandale à la cour ?

Un homard à Versailles. Le chateau de Versailles présente des oeuvres de l’artiste américain Jeff Koons. Bouée en forme de homard (en fait en métal peint), structures gonflables en forme de chien ou de cœur (également réalisés en métal), Michael Jackson en porcelaine et autres pièces déjà très connues occupent différents espace du palais.
Art d'hier et d'aujourd'hui. Avec cette exposition le public est invité à s’interroger sur les arts des époques passées et l’art contemporain mais depuis plusieurs années déjà de nombreux musées – le musée du Louvre et le musée d’Orsay en tête - ouvrent leurs portes aux artistes contemporains, les invitant à intervenir sur les collections permanentes ou les expositions temporaires. Pas de véritable nouveauté dans la démarche. La majorité des sculptures exposées à Versailles l’ont déjà été dans d’autres lieu très fréquentés comme Venise ou Bilbao pour n’en citer que deux. Pas de découvertes avec cette exposition donc.
Prix records. On a beaucoup parlé des prix records atteints par les sculptures de Koons, de la réalisation des œuvres par une équipe d’assistants, de la pertinence de la présence d’objets banals (jouets, peluches, bibelots) traités à une échelle monumentale - dans un style le plus souvent qualifié de kitsch - dans une grande demeure historique. Une fois encore, l’art et l’argent et la technique de création ont été confondus. Ces œuvres renvoient à la société de consommation ? Andy Warhol avait les mêmes préoccupations il y 50 ans.
So what ? Qu’est ce qu’une œuvre alors finalement ? Marcel Duchamp en érigeant au rang d’œuvre d’art un simple porte-bouteille peint en blanc avait déjà apporté une réponse il y a 100 ans. En bref, Koons à Versailles n’écrit pas une page d’histoire de l’art. Et cette expo dont on parle tant, se laisse voir avec un goût très prononcé de déjà vu.

AG.

jeudi 9 octobre 2008

Les experts au Quai Branly


Les animaux aiment l’art eux aussi. Las.
Par un ami œuvrant au Quai Branly (mais souhaitant conserver l’anonymat) j’apprends que pour lutter contre les pigeons qui parviennent à pénétrer dans le musée (et souillent les œuvres exposées) la direction fait désormais appel à des experts. Un couple de furets.
Tandis que Madame est retenue dans sa cage, Monsieur part cranement à la chasse pour lui ramener à manger. (Je connais de nombreux maris qui pourraient d’ailleurs prendre exemple sur ce furet là.) Grand chasseur, peu de pigeons lui échappent.
Autre consultant en mission régulière pour les arts premiers : un faucon. Souvent loué pour le weekend, on le hisse sur le toit du musée. Sa seule présence suffit à éloigner pour plusieurs semaines toutes les mouettes de Paris, attirées par les reflets de la façade de verre. Il semblerait qu’elles se passent le mot et se le tiennent pour dit.
Quant aux poissons rouges dispersés dans le bassin du jardin pour le bon plaisir des visiteurs, ils ont été tristement becquetés par un héron vorace. Un voisin : c’est le héron du parc Montsouris.

mardi 7 octobre 2008

Money money money


17 000 dollars de l'heure. Dix-sept mille dollars de l'heure. C'est ce qu'a touché l'an passé Richard Fuld, ancien patron de la banque Lehman Brothers. Soit 45 millions de dollars en un an.
Pour ceux qui reviennent de vacances sur une île deserte ou d'un séjour d'un mois en cellule monacale (très tendance), la banque Lehman Brothers, vénérable établissement vieux de 158 ans, a fait faillitte, suite à la crise des subprimes. Et suite à l'excellent management de son patron, Richard Full.
17 000 dollars de l'heure. DIX SEPT MILLE DOLLARS DE L'HEURE...
Mais comment se fait-il que nous ne soyons pas tous dans la rue avec des fourches ?!!!

lundi 6 octobre 2008

Astier


C’est un bistrot parisien comme on les aime, avec ses nappes à carreaux rouges et blancs, son interminable carte des vins, et son plat du jour créatif, au gré de l’inspiration gourmande du Chef.
Vous l’aurez compris, chez Astier, on mange bien : le « menu cochon » vous fera grogner de plaisir, le foie de veau au jus de rhubarbe vous surprendra, et le plateau de fromages séduira les plus difficiles. Mieux vaut réserver : cet incontournable rendez-vous parisien affiche complet tous les soirs !

Astier
44, rue Jean-Pierre-Timbaud
75011 Paris
tél : 01 43 57 16 35
Métro ligne 3 : Parmentier

Juno

"Je ne suis pas le père de l'enfant que porte Rachida Dati".
Bernard Laporte, secrétaire d'Etat aux Sports.
Rooooo, Bernard.

Le nombre d'or


6%. C'est le handicap racial de Barak Obama, à un mois des élections américaines, chiffré par un éditorialiste du New York Times.
En d'autres termes, la couleur de peau d'Obama aurait pour conséquence la baissse de 6% des voix, selon une étude de l'université de Standford.

dimanche 5 octobre 2008

Ouaf Ouaf

Kärcher Kulture

Si je vous dis Kärcher, vous pensez à quoi ?
Désireuse de véhiculer une image plus positive que celle du ministre de l'intérieur en visite de bon voisinage à la Courneuve, la société allemande, inventeuse du premier nettoyeur haute pression à eau chaude, se lance, à ses frais, dans le ravalement du Palais de Chaillot, à Paris. Une démonstration en public a eu lieu à l'occasion des journées du Patrimoine, les 20 et 21 septembre dernier.
Mais l'entreprise a d'autres opérations de nettoyage d'envergure à son actif. Le nettoyage des colonnes de la Place Saint Pierre de Rome en 1998, et celle, complexe, des Colosses de Memnon en 2002 à Louxor. En 2005, Kärcher s'est engagé dans la restauration du Mont Rushmore : George Washington, Thomas Jefferson, Theodore Roosevelt et Abraham Lincoln ont ainsi retrouvé une nouvelle jeunesse, en un mois de temps, grâce entre autres, à cinq techniciens cordistes.
Vous en avez assez de toute cette saleté ? Et bien on va vous en débarrasser !

No comment

«Tenez-vous à carreau, et vous serez chez vous, libre, avec une chambre et des toilettes séparées. La prison, ce n’est pas l’hôtel»

Rachida Dati à un détenu qui l’interpellait sur ses conditions de détention dans une prison de Metz.
22 septembre 2008.

jeudi 2 octobre 2008

"Elle ne disait pas grand chose mais on voyait bien qu'elle pensait des bêtises..." (Jules Renard.)


Quand Sarah Palin évoque son expérience en matière d'affaires internationales, un souffle froid, venu d'Alaska, certainement, traverse les bureaux des stratèges américains républicains.

Mais pourquoi, diable, en plus d'être d'une ignorance crasse, fait-elle des fautes d'anglais ?

"Nous avons des missions d'échanges commerciaux dans les deux sens, a t'elle déclaré à une journaliste de CBS, soufflée. Nous - c'est très important si vous considérez que même les questions de sécurité nationales avec la Russie, quand Poutine éleve sa tête et vient dans l'espace aérien des Etats-Unis, où, où vont ils ? C'est l'Alaska. C'est juste à la frontière. C'est de l'Alaska que nous envoyons ceux ci pour être certains qu'un oeil est maintenu sur cette nation très puissante, la Russie. "
Ou, quand un pitt bull avec du rouge à lèvres se met à faire de la politique à l'échelle nationale...