jeudi 2 octobre 2008

"Elle ne disait pas grand chose mais on voyait bien qu'elle pensait des bêtises..." (Jules Renard.)


Quand Sarah Palin évoque son expérience en matière d'affaires internationales, un souffle froid, venu d'Alaska, certainement, traverse les bureaux des stratèges américains républicains.

Mais pourquoi, diable, en plus d'être d'une ignorance crasse, fait-elle des fautes d'anglais ?

"Nous avons des missions d'échanges commerciaux dans les deux sens, a t'elle déclaré à une journaliste de CBS, soufflée. Nous - c'est très important si vous considérez que même les questions de sécurité nationales avec la Russie, quand Poutine éleve sa tête et vient dans l'espace aérien des Etats-Unis, où, où vont ils ? C'est l'Alaska. C'est juste à la frontière. C'est de l'Alaska que nous envoyons ceux ci pour être certains qu'un oeil est maintenu sur cette nation très puissante, la Russie. "
Ou, quand un pitt bull avec du rouge à lèvres se met à faire de la politique à l'échelle nationale...

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